LA RENSEIGNEMENT DES MARéES

Callista resta de longues heures à river l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait assuré, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule banalité qui guidait son existence. Les mat

L’Antarctique s’étendait à détriment de banale, un désert glacé où le calme pesait plus lourd que la neige accumulée sur la rafraîchissement. Le coeur de recherche scientifique, perdu dans cet parfait blanc, semblait minuscule mine à l’immensité du panorama. Ici, le dédaigneux mordait la peau, le vent sifflait des promesses inaudib